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Le gouvernement se prépare à riposter à la flambée des prix des viandes rouges

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Le gouvernement réagit face à la flambée des prix des viandes rouges

Suite à l’augmentation des prix des viandes rouges, le gouvernement a décidé d’agir. Des contrats-programmes seront mis en place dans la filière viandes rouges, suivant l’exemple de la production laitière. C’est ce qui ressort des réunions de travail qui se sont tenues hier à Rabat, réunissant Mohammed Sadiki, ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et forêts, ainsi que les interprofessions de ces deux filières, selon les informations de Challenge.

Des mesures pour maintenir l’équilibre des filières viandes rouges et lait

Outre les discussions sur les mesures nécessaires pour garantir l’équilibre de ces filières et renforcer la souveraineté alimentaire, les parties prenantes ont convenu de poursuivre les échanges pour finaliser des mesures importantes favorisant le développement des deux secteurs. Ces mesures comprendront la mise en place de contrats-programmes spécifiques, rapporte le magazine.

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Des actions concertées pour le développement des filières

Lors de ces rencontres, en présence du président du directoire du Crédit Agricole du Maroc, des mesures ont été convenues pour protéger les avancées réalisées dans les filières viandes rouges et lait. Ces mesures incluent le soutien à l’alimentation du bétail, à l’importation d’aliments pour animaux, ainsi que la préparation d’une loi sur l’élevage, selon Challenge.

Par ailleurs, des actions seront entreprises pour le développement de cultures fourragères résilientes, la réglementation de l’insémination artificielle, l’importation de semences et la protection des femelles ovines et bovines. Un cadre réglementaire sera également établi pour les unités d’engraissement des bovins et ovins, d’après le magazine.

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Garantir l’approvisionnement du marché en viandes rouges et lait

Mohammed Sadiki a souligné l’importance des mesures visant à assurer l’approvisionnement du marché national en viandes rouges et en lait, ainsi que la facilitation de l’importation de matières premières pour les fourrages et les produits laitiers. Les discussions ont également porté sur la situation du cheptel national, les prix des animaux et des viandes rouges, et les questions relatives aux importations, toujours selon Challenge.

En conclusion, ces mesures sont essentielles pour préserver les activités liées aux filières viandes rouges et lait, et garantir un approvisionnement adéquat du marché national, compte tenu de leur importance socio-économique et de leur contribution à la sécurité alimentaire du pays.