PortNet et le port de Huelva promeuvent la numérisation des chaînes portuaires

Le port de Huelva, l’un des ports les plus importants d’Espagne, et le guichet unique marocain de simplification des procédures du commerce extérieur au Maroc (PortNet) ont signé, mercredi, un protocole de travail portant sur l’étude et la possibilité de développer des opérations de numérisation des chaînes portuaires. .

Le protocole, qui a été signé par la présidente de l’Autorité portuaire de Huelva, Pilar Miranda, et le directeur général de « Portnet », Youssef Ahouzi, vise à faciliter l’étude et le développement potentiel de la numérisation des chaînes portuaires maritimes entre l’Autorité portuaire de Huelva et « Portnet » afin de relier les systèmes d’information des deux parties, à travers des interfaces de télécommunication appropriées, dans le but de dynamiser le commerce maritime international entre Huelva et le Maroc.

L’Autorité portuaire de Huelva a déclaré dans un communiqué que la coopération entre les deux parties vise également à « contribuer au système d’innovation, en établissant un lien technologique physique et maritime intégré pour tous les acteurs impliqués dans la chaîne de valeur complète vers et depuis chaque pays ».

Le président du port de Huelva a souligné que ce protocole de travail « pionnier » entre les autorités espagnoles et marocaines permettrait, « grâce à l’engagement de l’Autorité portuaire de Huelva en faveur de la numérisation », de faciliter l’échange d’informations entre le port de Huelva et Portnet , et contribuer à l’amélioration des services au niveau du port, notamment le transport maritime. Entre les deux pays.

Elle a ajouté que l’accord donnerait un nouvel élan au commerce maritime international entre Huelva et le Maroc.

La communication indiquait que grâce à la proximité géographique avec le Maroc, la croissance « régulière » de la circulation des marchandises dans ce pays et les relations entre les deux pays, l’Autorité portuaire de Huelva a coopéré avec les administrations marocaines « pour renforcer les relations commerciales et logistiques », et ainsi « d’établir une autre porte d’entrée des produits marocains vers le reste des pays d’Europe et d’Amérique, et vice versa ». .