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Le président de la région somalienne du Puntland annonce sa candidature aux élections présidentielles nationales.

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Marrakech, 20 Mar. (Maroc-Actu) –

Le président de la région somalienne du Puntland, Said Abdulahi Deni, a annoncé son intention de se présenter aux élections présidentielles que le pays prévoit de tenir cette année, ce qui signifie l’émergence d’un nouveau challenger au milieu de la confrontation dans laquelle sont engagés l’actuel président du pays, Mohamed Abdulahi « Farmajo » et le premier ministre, Mohamed Husein Roble.

M. Deni a annoncé sa candidature dans un discours télévisé prononcé depuis Garowe, la capitale de l’État, à l’issue d’une réunion avec les membres élus du parlement local dans le cadre des élections législatives qui se tiennent actuellement dans tout le pays, une étape essentielle vers la tenue d’une élection présidentielle reportée depuis plus d’un an.

« Je vais me présenter à la plus haute fonction de la Somalie en 2022. J’ai les qualités humaines et la passion pour répondre aux attentes, avec l’intention d’évincer le président actuel, Mohamed « Farmajo », par des moyens démocratiques », a-t-il déclaré dans des propos rapportés par le portail d’information Garowe on Line.

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La région semi-autonome du Puntland, dans le nord-est du pays, renferme d’importantes réserves de pétrole et de gaz et réclame depuis des années une plus grande reconnaissance et un soutien du gouvernement fédéral somalien dans sa lutte contre le groupe djihadiste Al Shabaab, l’un des plus redoutables du continent africain.

La Somalie aurait dû entamer un processus électoral en décembre 2020 avec la sélection des membres du parlement, qui auraient dû élire un nouveau président en janvier. L’opposition a accusé le président, plus connu sous le nom de « Farmajo », de bloquer le processus afin de rester au pouvoir de manière anticonstitutionnelle.

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Le monde a récemment été témoin d'une panne informatique majeure qui a ébranlé les infrastructures numériques à une échelle mondiale. Un incident qui a mis en évidence la vulnérabilité de notre dépendance aux systèmes informatiques.

Retour Progressif à la Normale

Mais aujourd'hui, nous observons un retour progressif à la normale. En effet, malgré la magnitude de la panne, les experts en informatique du monde entier ont uni leurs forces pour surmonter cette crise et rétablir les systèmes perturbés.

Les Efforts de Restauration

Le processus de restauration n'a pas été une mince affaire. Il a nécessité un travail acharné, l'expertise technique de spécialistes hautement qualifiés et une coordination mondiale. Cependant, grâce à ces efforts conjugués, la situation revient progressivement à la normale.

Le Monde Informatique Post-Panne

Alors que nous revenons à un état de stabilité, la leçon tirée de cette panne mondiale est claire : il est crucial de renforcer la résilience de nos systèmes informatiques. Ainsi, nous pouvons être mieux préparés et équipés pour faire face à de telles situations à l'avenir.

En Conclusion

La panne informatique mondiale a été un obstacle majeur, mais grâce à l'effort collectif des experts en informatique du monde entier, nous observons un retour progressif à la normale. Cet incident nous rappelle l'importance d'investir dans des systèmes informatiques robustes et résilients pour faire face aux défis du futur.

Dans un premier temps, le président a laissé à M. Roble le soin d’organiser les élections et de se soustraire ainsi aux feux de la rampe. Cependant, il a annoncé le 27 décembre qu’il « suspendait » une nouvelle fois les pouvoirs du Premier ministre, après quoi des officiers militaires alignés sur le président ont pris le contrôle du bureau de Roble pour l’empêcher d’aller poursuivre son travail.

Malgré cela, Roble a réussi à entrer dans son bureau avec un soutien militaire et l’appui des troupes de la Mission de l’Union africaine en Somalie (AMISOM), après quoi il a dénoncé la décision « scandaleuse » de « l’ancien président » et affirmé avoir pris le commandement de l’armée, tout en accusant « Farmajo » de « tentative délibérée de renverser le gouvernement ».