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Les professionnels appellent le gouvernement marocain à surveiller les prix et la qualité avant

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A quelques jours du mois de Ramadan, les attentes des citoyens quant à la baisse des prix existent toujours, dans une période de grand pic de consommation chez les Marocains, invoquant les contextes de jeûne et d’habitudes alimentaires ancrées. Malgré les assurances du gouvernement diffusées par les ministres concernant la stabilité des prix avant le ramadan, les professionnels ne constatent pas le retour de signes de stabilité, notamment avec l’absence des camions de la liste des aides au transport au Maroc. Au marché de gros des fruits et légumes de Casablanca, les prix des tomates sont de cinq dirhams, les pommes de terre sont de deux dirhams, et les sauterelles sont de 12 dirhams, les carottes sont de 1,5 dirhams et les oignons sont de 3,5 dirhams, selon les témoignages de sources professionnelles responsables.

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On s’attend à ce que la hausse actuelle des prix soit un facteur décisif pour les Marocains pour le mois de Ramadan, car les commentaires des professionnels et des associations de consommateurs se répercutent pour faire baisser les prix, faute de quoi de nombreux groupes connaîtront de nombreuses difficultés financières. Parlant de la baisse du prix des tomates notamment, les barbes se sont moquées, soulignant que « leur prix à Inezgane est actuellement de cinq dirhams ».

Chebbi a ajouté que « le prix de la tomate sur le marché de gros de Casablanca est de six dirhams », soulignant que « c’est très cher depuis la récolte, et ça s’exporte en Europe à deux euros, mais face à la grève des transports, le gouvernement est sorti avec un scénario de réduction des exportations. » Et le même porte-parole a souligné, dans un communiqué exclusif, « cependant, les professionnels appellent à la nécessité de plafonner les profits ou de fixer un quota pour le marché intérieur, regrettant le mépris actuel dont le citoyen marocain fait les frais », comme il l’a dit. « L’offre dépasse la demande, mais en ce qui concerne les prix, il y a eu des baisses simples et normales », soulignant que « la commercialisation de la spéculation n’est qu’une gueule de bois, et ce qu’il faut, c’est surveiller les prix ainsi que la qualité ».

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Marrakech, 2022-03-25 16:41:16 (Maroc-Actu) –

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