Accueil Divertissements Vikings Valhalla : Frida Gustavsson avoue que Lagertha a été sa grande...

Vikings Valhalla : Frida Gustavsson avoue que Lagertha a été sa grande inspiration pour Freydis

2329
0

Marrakech, 3 Mar. (Maroc-Actu) –

Frida Gustavssonl’actrice qui joue Freydis Eriksdottir dans la série Netflix Vikings : Valhalla avoue avoir été inspiré par le protagoniste de la série originale, le désormais légendaire Lagertha, jouée par Katheryn Winnick.

L’actrice l’a confirmé dans une interview accordée à Games Radar, dans laquelle elle a également assuré que Elle a l’intention de prendre le relais de Winnick dans la série originale pour « porter le flambeau de ce protagoniste féminin, de cette guerrière violente ».

Bien qu’inspirée par Lagertha, elle reconnaît également que. Les deux sont des personnages très différents dans la façon dont ils assument leur héritage. Et Freydis, la protagoniste de Valhalla, est également très unique, même par rapport à son frère, Leif Erikson (Sam Corlett), comme le reconnaît l’actrice elle-même.

Lire aussi:  La série primée Wallander de Kenneth Branagh et Tom Hiddleston arrive sur Pluto TV

« Ce sont des personnes très différentes. Il a repris l’héritage d’Erik le Rouge, son père, d’une manière assez différente. » a déclaré Gustavsson, dont l’idée est précisément de maintenir vivant l’héritage des personnages féminins de caractère dans Vikings.

« Là où Freydis est audacieuse, tenace et résistante au changement, Leif est plus judicieux. Leur relation est comme le yin et le yang, ils apprennent l’un de l’autre.« , a conclu l’actrice.

Vikings : Valhalla suit les traces de trois protagonistes vikings, Leif Eriksson (Sam Corlett), Freydis Eriksdotter (Gustavsson) et Harald Sigurdson (Leo Suter), entre 1002 et 1066. L’une des enclaves clés de l’intrigue est la ville norvégienne fictive de Kattegat, la maison de Ragnar Lothbrok (Travis Fimmel), d’où les différentes tribus vikings rassemblées par le roi Canute lanceront leur attaque sur l’Angleterre pour venger le cruel massacre perpétré un an plus tôt le jour de la Saint-Britius.

Lire aussi:  La question du patrimoine et de la culture populaire dans le théâtre marocain