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Aïn Atlas : Les Eaux Minérales d’Oulmès visées par un boycott suite à une fausse information ?

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L’eau minérale Aïn Atlas au cœur d’une polémique

Un document attribué au ministère marocain de la Santé a récemment fait grand bruit sur les réseaux sociaux en mettant en cause la conformité d’un lot de l’eau minérale Aïn Atlas aux normes de qualité en vigueur. Cette information a rapidement enflammé la toile, qualifiée de « bad buzz de l’année » par Jeune Afrique.

Un faux document décrié par le ministère de la Santé

Le courrier en question, signé par un délégué du ministère de la Santé, pointait du doigt la non-conformité de l’eau minérale Aïn Atlas suite à des prélèvements effectués. Cependant, il a été rapidement démasqué comme un faux en écriture, comme l’a confirmé le ministère de la Santé lui-même.

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Des réactions mesurées de la part des acteurs concernés

Interrogée par Jeune Afrique, une source autorisée auprès de LEMO, la société commercialisant l’eau minérale Aïn Atlas, s’est contentée de déclarer : « Nous n’avons pas de commentaire à faire » face à cette controverse.

Une affaire rappelant un précédent boycott

Cette polémique autour de l’eau minérale Aïn Atlas n’est pas sans rappeler une campagne de boycott lancée en 2018 contre la marque Sidi Ali, également issue des Eaux minérales d’Oulmès. Ce mouvement avait touché d’autres marques et entreprises, faisant écho aux enjeux économiques et politiques du Maroc.

Une success story pour Les Eaux minérales d’Oulmès

Commercialisée par Les Eaux minérales d’Oulmès (LEMO), l’eau Aïn Atlas est une référence sur le marché marocain. Avec des performances financières solides, la marque a su conquérir un large public et afficher une croissance significative de ses ventes ces dernières années.

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Le groupe Holmarcom, un acteur incontournable au Maroc

Propriétaire de LEMO, le groupe Holmarcom, dirigé par Mohamed Hassan Bensalah, est un poids lourd de l’économie marocaine. Avec des activités diversifiées dans différents secteurs, le groupe a récemment renforcé sa présence en acquérant une part importante de la banque Crédit du Maroc, confirmant ainsi sa position de leader sur le marché national.